Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
- spirou92
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
D'après les mails que j'ai reçu de TVR, se sera un v8 cosworth atmo....il a déjà tourné sur banc !
- antoine44
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Bonne nouvelle A quand une en France
Antoine
faites comme les rapaces, détruisez les nuisibles, mangez des écologistes
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- Samgonfff
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Voici la vidéo des premiers tests diffusés il y a quelques mois.spirou92 a écrit :D'après les mails que j'ai reçu de TVR, se sera un v8 cosworth atmo....il a déjà tourné sur banc !
Watch "TVR V8 laps Le Mans - first dyno test" on YouTube
TVR V8 laps Le Mans - first dyno test: http://youtu.be/Q5qZOQL-g0s
- pdi
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
un article intéressant avec en prime, une video sympa sur la Cerbera:
http://www.autocar.co.uk/car-news/new-c ... ocar-image
http://www.autocar.co.uk/car-news/new-c ... ocar-image
Le diesel, il ne passera pas par moi
- petit-a-petit
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
ca ressemble fort à une Typhoon, trouve je,...pas beaucoup d'efforts stylistiques....
- antoine44
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Video très sympa. Merci Philippepdi a écrit :un article intéressant avec en prime, une video sympa sur la Cerbera:
http://www.autocar.co.uk/car-news/new-c ... ocar-image
Antoine
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- Raoul Volfoni
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Chouette, mais si on peut avoir un tarif final et un peu des photos etc
Eh on est en France, alors quid de l'homologation ?
Eh on est en France, alors quid de l'homologation ?
- petit-a-petit
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
wait and see.....
- René 67
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Un petit peu plus de détails sur le châssis carbone:
http://www.automotivpress.fr/tvr-chassi ... -confirme/
http://www.automotivpress.fr/tvr-chassi ... -confirme/
Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
snif
finit les chassis qui rouille
comment occuper les longue soirée d'hiver dans ce cas ??
aller je la remet car j'adooore :
ce n'est malheureusement pas de moi, et je ne retrouve plus l'auteur
Une petite réflexion sur les Anglaises par un "anglophile" :
La voiture anglaise est peut-être une idée, ou bien une réflexion sur le monde, ou encore un point de vue sur l'existence, mais certainement pas un moyen de transport.
Acquérir un engin de cette sorte signifie implicitement renoncer une fois pour toutes à la conduite automobile.
Car une voiture anglaise n'est pas faite pour rouler. Elle n'a jamais été conçue ni construite pour cela.
En revanche - ceux qui en possèdent l'attestent avec l'œil brillant des flagellants -, elle a été savamment mise au point pour vous compliquer la vie, ruiner graduellement votre confiance, votre épargne, tout en salissant sournoisement votre garage.
C'est bien le propre d'une voiture anglaise - quelle que soit son extraction - que de goutter, de suppurer, de perdre toutes sortes de liquides lubrifiants ou refroidissants.
A voir ces traces brunâtres et récurrentes sur les sols des abris, on dirait que le moteur ou la boîte ont été pensés, imaginés autour de la fuite, dessinés pour sublimer ce goutte-à-goutte têtu et raffiné dont aucune clé, fût-elle six pans, ne vint jamais à bout.
En fait, tout se passe comme si les Anglais avaient fabriqué des voitures humides pour se fondre dans les rideaux de pluie.
En réalité, les Britanniques ont inventé la voiture domestique, cette sorte d'animal mécanique qui déteste faire de l'exercice mais n'aime rien tant que de vieillir au plus près des hommes, tout en gardant une certaine valeur.
Car, si les anglaises flanchent sur les déplacements, elles ont en revanche le mérite de devenir souvent avec l'âge de bons petits placements.
Si on la considère de ce point de vue - celui de l'énurétique animal de compagnie -, la voiture anglaise prend alors du sens.
Je parle bien évidemment là des véritables anglaises d'époque, et non point de ces mauvaises répliques d'aujourd'hui assemblées par de bien peu fantaisistes repreneurs américano-germaniques.
Je parle de celles dont la première craque, dont la seconde, troisième et quatrième ne passent pas, celles qui ne démarrent jamais le matin et rarement le soir, celles qui sont équipées de carburateurs SU, d'allumeurs Lucas, et de compteurs Smith, et d'overdrive Laycock, autant d'équipements funestes mis au point par des compagnies loufoques, malfaisantes et nuisibles qui ont cependant, un temps, fait la gloire et conforté l'image de l'industrie automobile d'outre-Manche confite dans les plis de ses cuirs.
Je parle de toutes ces voitures splendides qui flattaient l'œil autant que l'odorat.
Lorsque l'on s'asseyait à l'intérieur de ces berlines, de ces coupés ou de ces cabriolets, il s'en dégageait toujours une odeur de sous-bois, un parfum indéfinissable, mélange de pourriture noble, de moquette humide et d'huile de boîte rancie.
Bien sûr, chaque marque, chaque modèle avait sa propre fragrance, mais il demeurait une base, une effluence commune.
Et c'est là, dans la position du rêveur flairant, que vous perdiez la tête, la narine frémissante, la main flattant le Connoly, l'œil voletant sur l'érable moucheté et les chromes des poignées.
Et vous fermiez les yeux, et vous aviez des grillons dans la tête, et quelque chose vous disait que vous alliez parcourir le monde dans ce canapé à ressorts hélicoïdaux dont le marchand ne cessait de vous vanter la souplesse.
Et vous faisiez alors un chèque, un chèque sans fin, pour acquérir à la fois une nationalité qui vous était étrangère et un sentiment d'îliens qui n'avait qu'un lointain rapport avec la mer.
Et vous pensiez acheter une Jaguar, une MG, une Triumph, une Sunbeam, une Alvis, ou une Healey, bref un petit peu plus qu'une automobile, alors que vous veniez de devenir propriétaire d'une tonne d'emmerdements équitablement répartis sur chaque essieu.
Mon garagiste spécialisé me parle souvent des Jaguar XJ 6.
Il les parque toutes dans le même coin de son atelier, sorte de pavillon des contagieux, et les appelle ses boîtes à chagrin : « Quand on voit comment c'est fabriqué, on se demande comment ça peut rouler ».
Mon garagiste est un homme pragmatique.
Quand il évoque la XJS 12, il dit : « La six, c'était un six-cylindres. La 12, je vous laisse faire le compte, c'est les mêmes soucis multipliés par deux ».
Et pourtant, si l'on considère ces voitures pour ce qu'elles sont, des véhicules de garage, des pur-sangs immobiles, des petits salons d'ambassade, des fragments de Commonwealth, des exercices d'ameublement, des coques d'élégance, des noyaux de bon goût, alors, tout va bien.
C'est lorsque vous mettez le contact et que vous ambitionnez de vous rendre d'un point à un autre que l'exercice se gâte et que la machine se grippe.
Je sais de quoi je parle.
J'ai pratiqué ce sport qu'est la panne anglaise durant une quinzaine d'années.
J'ai été successivement trahi par deux Austin 1300, abandonné par une TR4 IRS, plaqué par une Sunbeam, ridiculisé par une Triumph Vitesse 6, humilié par une MGB qui alla jusqu'à s'enflammer, spontanément, moteur coupé, à l'arrêt, dans le garage.
Toutes ces voitures ont passé plus de temps chez le réparateur qu'avec moi sur les routes.
Toutes étaient séduisantes au point qu'après chaque panne j'avais la conviction que nous repartions, elles et moi, sur de nouvelles bases.
Toutes avaient cette odeur caractéristique qui inspirait confiance.
Toutes étaient splendides sous la pluie.
Toutes rouillaient inexorablement.
Toutes avaient quelque chose d'humain.
Toutes m'ont lâché du jour au lendemain.
Ce n'est que vers la fin que j'ai compris l'usage qu'il fallait faire de ces fauteuils de jardin.
Le soir, je sortais le cabriolet sur la pelouse, j'abaissais la capote, j'allumais une cigarette et la radio, puis, voyageur immobile, je fumais en regardant passer l'été dans le ciel.
Aujourd'hui, j'ai fait l'acquisition d'un petit roadster japonais.
Il est parfaitement étanche.
Le matin, je démarre, été comme hiver.
Le mélange air-essence est géré par un processeur.
Le chauffage chauffe, le ventilateur souffle, les vitesses passent en douceur, la consommation est raisonnable, la tenue de route irréprochable.
Je ne fréquente plus aucun mécanicien.
J'ai annulé mon assurance dépannage.
Bref je roule en automobile.
Autrement dit, je m'emmerde.
finit les chassis qui rouille
comment occuper les longue soirée d'hiver dans ce cas ??
aller je la remet car j'adooore :
ce n'est malheureusement pas de moi, et je ne retrouve plus l'auteur
Une petite réflexion sur les Anglaises par un "anglophile" :
La voiture anglaise est peut-être une idée, ou bien une réflexion sur le monde, ou encore un point de vue sur l'existence, mais certainement pas un moyen de transport.
Acquérir un engin de cette sorte signifie implicitement renoncer une fois pour toutes à la conduite automobile.
Car une voiture anglaise n'est pas faite pour rouler. Elle n'a jamais été conçue ni construite pour cela.
En revanche - ceux qui en possèdent l'attestent avec l'œil brillant des flagellants -, elle a été savamment mise au point pour vous compliquer la vie, ruiner graduellement votre confiance, votre épargne, tout en salissant sournoisement votre garage.
C'est bien le propre d'une voiture anglaise - quelle que soit son extraction - que de goutter, de suppurer, de perdre toutes sortes de liquides lubrifiants ou refroidissants.
A voir ces traces brunâtres et récurrentes sur les sols des abris, on dirait que le moteur ou la boîte ont été pensés, imaginés autour de la fuite, dessinés pour sublimer ce goutte-à-goutte têtu et raffiné dont aucune clé, fût-elle six pans, ne vint jamais à bout.
En fait, tout se passe comme si les Anglais avaient fabriqué des voitures humides pour se fondre dans les rideaux de pluie.
En réalité, les Britanniques ont inventé la voiture domestique, cette sorte d'animal mécanique qui déteste faire de l'exercice mais n'aime rien tant que de vieillir au plus près des hommes, tout en gardant une certaine valeur.
Car, si les anglaises flanchent sur les déplacements, elles ont en revanche le mérite de devenir souvent avec l'âge de bons petits placements.
Si on la considère de ce point de vue - celui de l'énurétique animal de compagnie -, la voiture anglaise prend alors du sens.
Je parle bien évidemment là des véritables anglaises d'époque, et non point de ces mauvaises répliques d'aujourd'hui assemblées par de bien peu fantaisistes repreneurs américano-germaniques.
Je parle de celles dont la première craque, dont la seconde, troisième et quatrième ne passent pas, celles qui ne démarrent jamais le matin et rarement le soir, celles qui sont équipées de carburateurs SU, d'allumeurs Lucas, et de compteurs Smith, et d'overdrive Laycock, autant d'équipements funestes mis au point par des compagnies loufoques, malfaisantes et nuisibles qui ont cependant, un temps, fait la gloire et conforté l'image de l'industrie automobile d'outre-Manche confite dans les plis de ses cuirs.
Je parle de toutes ces voitures splendides qui flattaient l'œil autant que l'odorat.
Lorsque l'on s'asseyait à l'intérieur de ces berlines, de ces coupés ou de ces cabriolets, il s'en dégageait toujours une odeur de sous-bois, un parfum indéfinissable, mélange de pourriture noble, de moquette humide et d'huile de boîte rancie.
Bien sûr, chaque marque, chaque modèle avait sa propre fragrance, mais il demeurait une base, une effluence commune.
Et c'est là, dans la position du rêveur flairant, que vous perdiez la tête, la narine frémissante, la main flattant le Connoly, l'œil voletant sur l'érable moucheté et les chromes des poignées.
Et vous fermiez les yeux, et vous aviez des grillons dans la tête, et quelque chose vous disait que vous alliez parcourir le monde dans ce canapé à ressorts hélicoïdaux dont le marchand ne cessait de vous vanter la souplesse.
Et vous faisiez alors un chèque, un chèque sans fin, pour acquérir à la fois une nationalité qui vous était étrangère et un sentiment d'îliens qui n'avait qu'un lointain rapport avec la mer.
Et vous pensiez acheter une Jaguar, une MG, une Triumph, une Sunbeam, une Alvis, ou une Healey, bref un petit peu plus qu'une automobile, alors que vous veniez de devenir propriétaire d'une tonne d'emmerdements équitablement répartis sur chaque essieu.
Mon garagiste spécialisé me parle souvent des Jaguar XJ 6.
Il les parque toutes dans le même coin de son atelier, sorte de pavillon des contagieux, et les appelle ses boîtes à chagrin : « Quand on voit comment c'est fabriqué, on se demande comment ça peut rouler ».
Mon garagiste est un homme pragmatique.
Quand il évoque la XJS 12, il dit : « La six, c'était un six-cylindres. La 12, je vous laisse faire le compte, c'est les mêmes soucis multipliés par deux ».
Et pourtant, si l'on considère ces voitures pour ce qu'elles sont, des véhicules de garage, des pur-sangs immobiles, des petits salons d'ambassade, des fragments de Commonwealth, des exercices d'ameublement, des coques d'élégance, des noyaux de bon goût, alors, tout va bien.
C'est lorsque vous mettez le contact et que vous ambitionnez de vous rendre d'un point à un autre que l'exercice se gâte et que la machine se grippe.
Je sais de quoi je parle.
J'ai pratiqué ce sport qu'est la panne anglaise durant une quinzaine d'années.
J'ai été successivement trahi par deux Austin 1300, abandonné par une TR4 IRS, plaqué par une Sunbeam, ridiculisé par une Triumph Vitesse 6, humilié par une MGB qui alla jusqu'à s'enflammer, spontanément, moteur coupé, à l'arrêt, dans le garage.
Toutes ces voitures ont passé plus de temps chez le réparateur qu'avec moi sur les routes.
Toutes étaient séduisantes au point qu'après chaque panne j'avais la conviction que nous repartions, elles et moi, sur de nouvelles bases.
Toutes avaient cette odeur caractéristique qui inspirait confiance.
Toutes étaient splendides sous la pluie.
Toutes rouillaient inexorablement.
Toutes avaient quelque chose d'humain.
Toutes m'ont lâché du jour au lendemain.
Ce n'est que vers la fin que j'ai compris l'usage qu'il fallait faire de ces fauteuils de jardin.
Le soir, je sortais le cabriolet sur la pelouse, j'abaissais la capote, j'allumais une cigarette et la radio, puis, voyageur immobile, je fumais en regardant passer l'été dans le ciel.
Aujourd'hui, j'ai fait l'acquisition d'un petit roadster japonais.
Il est parfaitement étanche.
Le matin, je démarre, été comme hiver.
Le mélange air-essence est géré par un processeur.
Le chauffage chauffe, le ventilateur souffle, les vitesses passent en douceur, la consommation est raisonnable, la tenue de route irréprochable.
Je ne fréquente plus aucun mécanicien.
J'ai annulé mon assurance dépannage.
Bref je roule en automobile.
Autrement dit, je m'emmerde.
v8 3.9 - L6 2.6SU - V6 2.8 cologne
Mon occupation TVRienne => viewtopic.php?f=2&t=5293
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- ray moulad
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- Voiture(s) : Griffith 400;
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
excellent, un peu long mais excellent et tellement vrai, surtout la chute
- petit-a-petit
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- Voiture(s) : Les portes vont toujours par deux....
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
+1...légèrement exagéré quand même, mais
- REDROSE
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
Quelle inspiration !
Ca sent le vécu en tout cas.
Ca sent le vécu en tout cas.
-
- Messages : 191
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Re: Vers une Vrai renaissance de la Marque TVR
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1987 Yamaha TZR 125 2RK - 1991 Yamaha TZR 250 2XW2 - 1991 Yamaha TZR 250 3XV1
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