Brève présentation BB74
Publié : 09 oct. 2021 08:13
Bonjour tout le monde,
Pour commencer : je suis ravi de me joindre à vous !
Je m'appelle Benjamin, j’ai 46 ans et je suis marseillais. Je suis depuis mon enfance passionné par les voitures typées avec une attirance particulière pour les « anglaises/roadsters/anciennes ».
J’ai possédé pendant près de 10 ans une TR3 de 1961 qui m’a comblé et que j’ai toujours conduit avec engagement (C’est un roadster ou pas b**del ? )mais que j’ai décidé de confier à un autre passionné car sa configuration me faisait craindre le pire en cas d’accident : pas de parebrise, pas de ceinture de sécurité, une épaisseur de tôle et des roues très fines, une capacité de freinage d’urgence limitée… bref un véhicule des années 60..
Puis j’ai voulu être plus raisonnable en achetant une MX5 N/C 2.0 qui m’a apporté du plaisir mais pas assez finalement, notamment en raison de son moteur qu’il faut trop pousser dans les tours à mon goût.
J’ai donc décidé après 3 ans de miata de franchir un cap et de réaliser un vrai rêve: acquérir une Griffith 500 de 96. Et là je dois confesser que la jauge « plaisir/sensation » a littéralement explosé.
Pour faire simple : je chéris littéralement cet engin sensoriel que je possède depuis presque 4 ans. Je l’adore pour sa gueule, sa ligne qui me rappelle cet âge d’or que sont les 60’S, son énorme V8 à la sonorité « glaireuse », sa conception artisanale et les défauts qui vont avec et tout simplement parce que c’est une TVR, une marque incroyablement burnée, sans compromis et disons- le, un peu folle par ses créations originales et son histoire.
Pour commencer : je suis ravi de me joindre à vous !
Je m'appelle Benjamin, j’ai 46 ans et je suis marseillais. Je suis depuis mon enfance passionné par les voitures typées avec une attirance particulière pour les « anglaises/roadsters/anciennes ».
J’ai possédé pendant près de 10 ans une TR3 de 1961 qui m’a comblé et que j’ai toujours conduit avec engagement (C’est un roadster ou pas b**del ? )mais que j’ai décidé de confier à un autre passionné car sa configuration me faisait craindre le pire en cas d’accident : pas de parebrise, pas de ceinture de sécurité, une épaisseur de tôle et des roues très fines, une capacité de freinage d’urgence limitée… bref un véhicule des années 60..
Puis j’ai voulu être plus raisonnable en achetant une MX5 N/C 2.0 qui m’a apporté du plaisir mais pas assez finalement, notamment en raison de son moteur qu’il faut trop pousser dans les tours à mon goût.
J’ai donc décidé après 3 ans de miata de franchir un cap et de réaliser un vrai rêve: acquérir une Griffith 500 de 96. Et là je dois confesser que la jauge « plaisir/sensation » a littéralement explosé.
Pour faire simple : je chéris littéralement cet engin sensoriel que je possède depuis presque 4 ans. Je l’adore pour sa gueule, sa ligne qui me rappelle cet âge d’or que sont les 60’S, son énorme V8 à la sonorité « glaireuse », sa conception artisanale et les défauts qui vont avec et tout simplement parce que c’est une TVR, une marque incroyablement burnée, sans compromis et disons- le, un peu folle par ses créations originales et son histoire.